Nouvelle campagne de sensibilisation des VEO : Les mots que je ne te dirais pas …
Récemment adoptée, la loi pour l’abolition des violences éducatives ordinaires (claque, fessée, pincements, humiliations) énonce que l’autorité parentale s’exerce sans violences physiques et psychologiques et interdit toute Violence Éducative Ordinaire. Au-delà de la loi, les habitudes persistent pourtant dans les foyers français. C’est la mission de notre association de sensibiliser sur les conséquences délétères des VEO.
Publicis Conseil a imaginé un film d’une rare émotion, proche du court-métrage qui bouscule.
Brillamment réalisé par Laura Sicouri (Insurrection), ce dernier met en scène la relation très forte entre une mère et son enfant, au travers de deux temporalités, une présente et une imaginée, qui permettent d’évoquer qu’il est possible de ne pas recourir aux violences.
Ce film nous interroge sur ce que nous perdons quand nous cédons aux violences éducatives tout en faisant une ode à l’amour que nous portons à nos enfants. En arriver aux violences éducatives ordinaires c’est renoncer, malheureusement, à la communication avec son enfant.
Le film intitulé « Les mots que je ne te dirais pas » illustre cet instant de partage perdu.
Nous vous proposons de découvrir le film, en deux format, sur notre chaîne YouTube :
Format 3’10’’ Digital et Social Media : https://youtu.be/T9_I2ifc5go
Format 60’’ TV : https://youtu.be/_4RW3a4CKMs
« On a tout à gagner à faire le choix d’éducation sans violence »
Plus d’accompagnement pour renoncer aux violences éducatives ordinaires sur notre site.
L’autorité parentale s’exerce sans violences physiques et psychologiques-code civil Article 371-1
La campagne sera déployée en TV, digital et social media à partir du 26 mai.
Chaînes partenaires de la campagne : Groupe France 24, Groupe Canal, LCPAN
Ce film très cinématographique est réalisé par Laura Sicouri et produit gracieusement par Hélène Daubert chez Insurrection. Nous remercions Publicis Conseil pour ce film qui, nous l’espérons, contribuera un peu plus à accéder à une prise de conscience des violences éducatives ordinaires.